A l’ère de la transition numérique, les entreprises de tous secteurs se retrouvent dans des environnements en constante évolution. Une évolution si rapide que ses acteurs, face à la complexité croissante des données, ont parfois du mal à s’y retrouver. En interne aussi, les problématiques et les freins s’accumulent, chacun ayant tendance à s’enfermer dans le pré-carré de ses compétences. Dans ce contexte, plus que jamais, l’intelligence collective et l’initiative de chacun sont la solution.
Mais cette intelligence ne se décrète pas, elle se construit et se cultive, à force de travail et de communication, jour après jour. Cet écosystème ouvert et transparent, dont tous les éléments interagissent, s’organise afin que chacun y contribue efficacement.
Même si elle se pense et se décide en amont, la création d’un écosystème efficace commence toujours par le noyau : l’individu. Le collaborateur, à tous les niveaux de l’entreprise, devra apprendre à laisser son égo au placard pour emprunter la voie de l’intelligence collective. Le salarié n’agit plus pour se faire valoir auprès de sa hiérarchie, mais pour s’affirmer dans la prise d’initiative : ses convictions et ses connaissances se remettent au service de tous. L’horizontalité et l’efficacité décentralisée gagnent du terrain.
Pour pouvoir donner le meilleur de lui-même, chaque collaborateur est intégré à la nouvelle organisation. Mis en confiance, il se sent partie prenante de l’écosystème et y trouve sa place de contributeur. Répondre aux problématiques complexes nécessite de pouvoir s’exprimer… mais aussi d’écouter. En jouant la carte de la coopération, on se rend vite compte que cette approche réactive permet d’accroître la créativité.
Travailler dans un écosystème ouvert, c’est adopter une vision transversale et connecter des intelligences diverses, des personnalités et non plus seulement des métiers et des compétences techniques. Entendre, comprendre et traduire le besoin client ; chez Olistik, l’expérience utilisateur est au cœur de la création pour mettre en place des outils et des applis métiers innovantes. En s’appuyant sur un réseau d’experts travaillant en co-création, on innove de façon efficace pour trouver les réponses adaptées.
Le croisement des points de vue et des approches permet d’avoir une vue d’ensemble et d’appréhender les enjeux dans leur globalité. Cette méthode se pratique énormément dans les incubateurs et les pépinières de start-up. La capacité à apporter les bonnes réponses est avant tout liée à l’efficacité du réseau. « Cette approche holistique qu’est l’écosystème est un équilibre entre la compréhension d’un contexte et la somme d’intelligences : 1 + 1 = 3 », explique Olivia Von Breitenstein, directeur de la stratégie d’Olistik.
Dans le monde de l’entreprise, le réflexe de se comparer aux autres pour se définir et exister tend à disparaître. « L’ère du collaboratif, par l’initiative de chacun et la créativité de tous, a sonné. C’est par un échange constant que l’on peut chaque jour réinventer le business », ajoute Olivia Von Breitenstein.
L’écosystème est donc une nouvelle manière de penser les solutions mais a également un but très pragmatique… et lucratif. Plus l’écosystème est dynamique, plus le business devient collectif et efficace.
Olivier Gambari, fondateur d’Olistik affirme « La valeur apportée aux clients est amplifiée : un regard neuf sur leurs problématiques amène des solutions innovantes, plus adaptées. La co-création permet d’abattre les cloisons et les silos entre experts, mais aussi entre entreprises. » Evoluer dans un écosystème collaboratif, où l’ancienne verticalité cloisonnée fait place à l’horizontalité ouverte, c’est répondre dès maintenant aux enjeux complexes de demain.